Extrait d'un portfolio inédit de Akila Berjaoui composé de 8 photographies. 250 exemplaires. En exclusivité dans Wombat N°10.
Photographe depuis près d’une dizaine d’années, Akila Berjaoui aime être provoquée. Dotée d’une furieuse curiosité, elle poursuit constamment de nouvelles inspirations, de nouvelles rencontres, de nouveaux sujets. Influencée par des artistes comme Bruce Weber, Hans Feurer ou Juergen Teller, Akila Berjaoui s’intéresse particulièrement au corps féminin. Ses clichés donnent « corps aux corps » : les courbes s’éveillent par les jeux d’ombres et de lumières, le grain de peau s’anime par la transparence d’une goutte d’eau. Fortement liée à son pays natal, la jeune artiste australienne met en scène un univers ensoleillé où la mer, le sable et le ciel se rejoignent en une étreinte éternelle. Dans ce monde hédoniste apparaissent des femmes désinvoltes dont la beauté sculptée tient du mirage. Sensuelles, intimes, parfois provocantes, elles s’abandonnent lascivement aux caresses du soleil, aux remous de l’eau, aux frôlements de l’air. Ces muses s’offrent à la nature comme elles s’offrent à l’objectif : sans détours, sans concessions et sans limites. A travers son oeuvre teintée d’une évidente liberté de vivre, Akila Berjaoui nous invite finalement au « Carpe diem ».
Pour recevoir ce portfolio, commandez Wombat N°10.
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